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This poem therefore exemplifies the predominantly excessive nature of desire. These four lines (7-10) from John Donne’s “The Paradox” (1633) 1 present two forms of excess: on the one hand physiological excess, excessive heat being caused by the fire of love on the other hand rhetorical excess, as the poem is based on the hyperbolic metaphor of love as death – a Petrarchan metaphor.
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Dans les poèmes et les pièces de la fin de l’époque élisabéthaine et du début de l’ère jacobéenne, sa douleur et son désir excessifs étaient exprimés par une rhétorique spécifique, caractérisée par un recours systématique à certains procédés et un usage répété de lieux communs pétrarquistes. En Angleterre, à la Renaissance, l’amant pétrarquiste était la figure de l’excès par excellence.